Alors que 69% des Français trouvent que la vie est difficile et les fins de mois compliquées, ils sont souvent contraints d’arbitrer entre préservation de leur niveau de vie et leur mobilité. Des contraintes budgétaires fortes mais un objet qui véhicule plus que jamais la notion de plaisir :+7pts vs 2010.
La voiture est indispensable pour 73% des Français, et plus que jamais nécessaire pour la majorité des automobilistes situés en zones péri-urbaines (87%) et rurales (95%), d’autant plus que deux tiers des Français roulent plus de 10 000 km par an.
La 10-ème édition de l’étude annuelle Barométrique « Les Français et l’automobile » commanditée par Aramisauto auprès de l’Institut KANTAR a donc souhaité savoir comment les Français gèrent leur budget pour concilier niveau de vie et mobilité.
69% des Français ont le sentiment que la vie est dure, sentiment encore plus prononcé chez les faibles revenus (83%)*
Fluctuations importantes des prix du carburant, taxes et projets de taxes, les Français font très attention à leur budget, et sont 88% à surveiller de près leurs dépenses.
87% des automobilistes ressentent un sentiment d’injustice, alors que les modes de transport aériens et maritimes, clairement identifiés comme polluants par les Français, ne sont eux pas taxés.
* au revenu de moins de 1500 euros nets mensuels
Dans ce contexte, quels sont les arbitrages budgétaires menés par les Français pour préserver leur niveau de vie alors que la voiture reste incontournable pour se déplacer ?
54% des Français ont changé leurs habitudes et consomment la voiture autrement :
o Réduction de la fréquence des déplacements
25% de la population française limite ses déplacements (soit 46% des 54% des Français). Signe des temps, cette limitation s’opère dorénavant également en zone rurale alors que la voiture y est indispensable ; en Ile De France les automobilistes utilisent plus régulièrement les transports en commun.
o Diminution du nombre de kilomètres
22% d’entre eux ont réduit leur nombre de kilomètres (soit 40% des 54% des Français).
o Arbitrages sur d’autres postes budgétaires- tout en continuant d’utiliser leur voiture
Les Français ont dû diminuer leurs budgets loisirs (19%), leurs dépenses vestimentaires (18%), leurs budgets voyages (17%) pour préserver leur niveau de vie. Et même leurs dépenses alimentaires (7%) et leurs frais de santé (5%) !
3 Français sur 10 rognent sur d’autres postes de dépense pour acheter une voiture
o Alors que 50% des Français ont diminué leurs dépenses automobiles - notamment les bas revenus pour 62% d’entre eux - 29% des Français qui envisagent un achat sont obligés de diminuer leur budget loisirs et sorties (53%), vacances et weekend (53%) et vestimentaires (42%).
o 51% des automobilistes (notamment les bas revenus pour 62% d’entre eux) modifient leurs critères d’achat pour des raisons budgétaires.
Les principaux critères impactés : le modèle (39%) ; l’achat d’une voiture d’occasion plutôt que neuve (34%) ; la marque (29%) et la motorisation (28%).
91% des Français déclarent être friands d’achats malins
o Pour 38% des automobilistes, « la meilleure affaire auto » réside dans l’achat d’une voiture d’occasion récente.
Le prix reste, en effet, le premier critère d’achat pour 69% des Français ; arrive ensuite le coût du carburant (36%), puis les coûts d’entretien et de réparation (29%).
o 44% des Français envisagent l’achat d’une voiture de marque Low-Cost, et 50% chez les bas revenus.
Parmi les acheteurs récents, 21% disent avoir d’ores et déjà opté pour une marque Low-Cost, que les Français identifient d’ailleurs clairement. Dacia arrive ainsi en tête de liste des marques à bas prix (59%).
La prime à la conversion : un facteur déterminant dans l’achat d’une voiture pour 54% des automobilistes
o Cette mesure a influencé le choix auto de 28% des acheteurs récents et elle influence le choix du véhicule pour 54% des acquéreurs actuels et futurs.
o 30% des automobilistes ont repoussé l’acquisition d’une nouvelle voiture pour des questions de budget, dont 14% pour pouvoir bénéficier de la prime à la conversion, même si la notoriété de la prime à la conversion porte essentiellement sur la lutte contre la pollution (81% : un bon moyen de remplacer les veilles voitures polluantes) et moins en soutien au pouvoir d’achat. 81% ont déjà entendu parler de la prime à la conversion :
25% ont une connaissance précise des conditions d’éligibilité et 56% une connaissance partielle.
L’ensemble des 81% s’accordent à dire que le montant de la prime n’est pas assez élevé, pas assez incitatif, et que les conditions d’éligibilité sont trop restrictives (79%).
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Présent en France, Belgique et Espagne, le groupe a réalisé en 2018 un chiffre d’affaires de près de 700 millions d’euros, vendu plus de 55 000 véhicules, et compte 700 collaborateurs.
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