La FFC Mobilité Réparation et Services a découvert que les assureurs envisageaient de supprimer la carte verte et le certificat d’assurance des automobilistes, au profit d’un document numérique. Sous couvert de simplification et de réduction de dépenses, l’action de transmission des données dématérialisées (qui poursuit une finalité d’intérêt public) ne doit néanmoins pas devenir un moyen de priver l’assuré de son choix du réparateur et du recours contre l’assureur responsable.